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Prénom : Jules
Age : 16 ans
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Nom : Donovan
Prénom : Hayden Jude William
Age : 21 ans
Histoire : Anecdote(s) de l'enfance : Comme tous les petits garçons de son âge, le jeune Hayden Donovan avait prit très tôt son père en model, imitant sa démarche, utilisant son vocabulaire et inspirant à devenir chef d’entreprise même s’il ne savait pas exactement la signification de ce métier. Mais Dave Jones a faillit tout gâcher dans le magnifique tableau de Valentine, Smith et Hayden dans le doux décors qu’est l’Irlande. Dave était l’un des assistants de sa mère qui confectionner par dessin les prochaines tenues que vous allez avoir sur le dos l’été prochain. Il était tout ce que son père n’était pas, brun, le regard sombre, timide mais il partageait la même beauté qu’habité Smith et le tout faisait que l’homme faisait peur à Hayden. Il supervisait donc les réunions des collègues qui se passées toujours dans la demeure des Peterson.
Assit dans le canapé de velours, le regard noir, les bras croisés et la gorge serré, l’enfant de sept ans observait avec amertume la confection d’une robe. Bien qu’au plus profond de lui, il savait que ce n’était pas possible, que jamais sa mère n’allait abandonner Smith et lui pour ce rustre en costume et aux chaussettes à carreaux, le doute persisté. Le rire cristallin de sa mère était bien trop pur, ses yeux brillaient… Etait-ce simplement l’amour de son travail qui parlait ou bien un amour naissant ? Que ce soit l’un ou l’autre, un trouble s’était élevé dans l’esprit de Hayden.
Cela faisait une heure que le petit garçon avait les yeux plantés sur Dave et sa mère et il était obstiné à ne pas quitter le canapé lorsque son ventre émit un son qu’il reconnu entre tous : l’heure du goûté. Un dilemme à deux options se présenter à Hayden : il pouvait quitter pendant cinq minutes le canapé, traverser le salon, courir jusqu’à la cuisine pour emporter bol, lait et céréales puis reprendre son poste de garde mais il laisserait le temps à Dave d’importer sa mère dans sa Porsche dont il avait venté les mérites dix minutes auparavant… Ou, appeler son père pour qu’il fasse le travail à sa place et ainsi vivre heureux jusqu’à la fin des temps…
« PAPA ?! »
Il se mordait les lèvres lorsque Dave se présenta à lui et s’agenouilla pour parvenir à la hauteur du petit garçon.
« Que veux-tu Hayden ?
La mâchoire de Hayden s’ouvrit en grand… Quiproquo ou pas, le pied du petit garçon était lui partit aussi clairement que le mal qui s’éleva en Dave lorsque la basket à la taille minime s’écrasa contre son entrejambe.
Anecdote(s) de l'adolescence : Le vent frémissait contre les deux têtes blondes assises sur le bitume, enlacés. Hayden avait changé du tout au tout, sa voix n’était plus la même et il se laissait pousser une barbe de deux jours, aujourd’hui, il fêtait ses dix-sept ans. La tête posée contre la joue d’Emily Jones, il savourait le moment présent, observant le cookies sur lequel était planté une bougie dont le vent avait déjà éteinte la flamme. Le jeune couple sursauta en même temps lorsque la porte émit un son plaintif.
***
« D’abord, vous vous permettez de vous balader sur les toits… »
Le principal faisait les cent pas dans le bureau, claquant le talon de ses chaussures à chaque enjambée. Hayden connaissait bien cet endroit pour y être gentiment invité plusieurs fois par mois. Il avait prit ses aises, s’étant installé dans le même fauteuil que la dernière fois, c’est-à-dire celui de Mr.Brown. Il écoutait d’une oreille le discours de celui-ci, beaucoup plus intéressé à contempler le parc ainsi que ses arbres centenaires.
« Je sais malgré tout vos excellentes notes et la combativité dont vous faîtes preuve dans les activités extra scolaire, que vous êtes le meilleur dans chaque matière depuis que vous êtes là, mais… »
C’était amusant d’être le simple spectateur de la vie des autres, il voyait de son perchoir l’entraînement de rugby et les jolies jeunes filles s’empressant de recueillir le ballon lorsqu’il sortait du terrain. Il observait plus principalement Marie Evans. La plus sexy des hippies.
Il l’avait rencontré la veille alors qu’il était dans le parking des professeurs…
Hayden songeait à l’embrasser demain soir lors de la soirée. Le regard du jeune homme finit par revenir sur Mr.Brown qui, rouge de colère, éclata :
« Mais ça ne vous donne pas le droit de vous soulager sur la voiture de votre professeur de mathématiques !! »
Caractère : Peu de personne dégage assez d’originalité pour engager une dépendance, un manque que l’on éprouve quand cette même personnalité est loin de vous. Hayden a toujours eu cette petite chose qui vous fait frémir, de son sourire à sa voix, de ses grimaces à ses pleurs, il vous fait découvrir cultures nouvelles, gastronomies inconnues et en son absence, ça n’a plus le même goût, cela devient fade et sans intérêt. Hayden possède une force de caractère qu’il tente jours après jours de dompter, c’est ce trait de sa personnalité qui la fait changer du tout au tout.
Au premier contact, la subtilité de son esprit vous étonnera, de son physique, on l’imagine égocentrique, quasiment narcissique pourtant il est tout ce qu’il y a de plus délicat, pénétrant, il est subjugué pour un rien, passionné donc. Les relations qu’il possède sont souvent ambiguës par les réactions loin d’êtres logiques du jeune homme, pourtant, les rencontres, l’être humains dans toute sa profondeur, dans ses qualités et ses défauts a toujours su charmer Hayden. Sensible est le juste mot, il reconnaît pleinement ses sentiments, émotif, il ne les assume pas toujours, et il y a quelques années, il les noyait dans les profondeurs âcres de l’alcool.
Certaines sensations sont encore trop fortes pour lui, ses sentiments l’envahissent, le déroute, et finissent par le submerger, dès lors, il fuit. De nombreuses fois, dans des moments intenses, on vit son visage se décomposer, pâlissant il tourne les talons. Hayden n’est pas de ceux qui gémissent et se traînent dans la boue, il agit avec finesse et ruse pour vous faire comprendre que la douleur qu’il porte en lui est de votre faute, en effet, il se rendra victime de n’importe quelle histoire. Ce n’est pas par orgueil, loin de là. Dans le cœur de Hayden, toutes les choses qui lui arrivent ont d’abord été déclenchées par lui seul, dans cette logique, il peut arrêter n’importe quel désastre. S’il ne le fait pas, la douleur qu’il ressent à était créée et amplifiée par lui seul. Hayden rejette tout sur votre personne pour vous impliquer un peu dans sa vie. En effet, le jeune homme à l’âme compliquée. Il est d’ailleurs lunatique, l’instabilité rythme sa vie de tous les jours, d’humeur changeante, Hayden ne devient jamais désagréable, mais remplace son esprit enthousiaste par un laisser-aller qui désespère ses proches. Le jeune homme est par ailleurs possessif envers tous ceux qu’il aime, jaloux et extrêmement rancunier. Dépendant de ses amis, avec la continuelle peur de rechute dans l’alcool, Hayden s’accroche à sa famille, tel un écorché, se souvenant du goût juste à la vue d’un verre, il ne peut s’empêcher d’arriver chez ses proches, terrorisé par la simple idée de replonger.
Signe(s) Particulier(s) : A part l’obsédante habitude de téléphoner à des heures incongrues, de se morde les lèvres et de se balader avec un appareil photo…
Avatar : Jude Law